En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre avenues et forêts, un horloger du substantif de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse en pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à traiter une pécule spéciale en son genre : un sanctuaire mécanique, une public
En l’année 1851, au cœur de l’Empire austro-hongrois, dans un seul village perdu entre montagnes et forêts, un horloger du homonyme de Jakob Müller vivait reclus dans une bâtisse en pierre et de cuivre. Artisan obsessionnel, il avait passé deux décennies à organiser une fric personnelle en son genre : un sanctuaire mécanique, une galer
la nuit de l’épreuve - Aux douze coups de minuit, un silence de plomb descendit sur la vieille bâtisse, à savoir si les siècles lui-même s’était suspendu. Les cupidités des bougies vacillèrent un moment, puis se figèrent dans une étrange immobilité. L’obscurité de la nouvelle lune pesait si lourdement que l’on peinait à bien di
L’éveil des mémoires - Avec la splendide saison, la famille et son jardin devinrent un décor vivant. Les fleurs poussaient dans le monde, colorant les massifs et générant bestioles et papillons. Les fenêtres s’ouvraient large sur l’extérieur, laissant cotiser la brise pleutre et le parfum des lilas. À l’intérieur, un sentiment de f